Financiers au chocolat
Pour une trentaine de financiers :
- 200g de beurre salé (ou neutre)
- 150 g de chocolat noir
- 80g de farine
- 200g de sucre glace
- 70g de poudre d'amandes
- une ou deux pincées de sel (sauf si utilisation de beurre salé)
- 6 blancs d'oeufs (prévoir une recette à faire avec les jaunes)
Souvent, une recette commence par une envie de quelque chose de particulier comme du chocolat, de la brioche, un bout de fromage. Mais là, j'ai en envie de faire des financiers après avoir acheté mon petit moule à financiers (élément essentiel de la cuisine quand même). Donc nous voilà, un soir à 18h en train de faire des financiers. C'était sans compter la nuit qui tombe à 16h en ce moment, donc j'ai attendu le lendemain pour faire les photos, et à vrai dire ils étaient encore meilleurs (évidemment c'est mon degré d'implication sur ce blog qui me pousse à tout goûter pour vous éviter les mauvaises surprises - comme si du chocolat pouvait entraîner une mauvaise surprise...) Ils étaient encore plus moelleux, plus chocolatés que lorsque je me suis jeté dessus à la sortie du four.
Commencer par préchauffer le four à 180°C. (th.6 environ)
Faire fondre le beurre dans un récipient, réserver. Faire fondre le chocolat dans un autre récipient, réserver également. Maintenant, dans un grand saladier mélanger les éléments "secs", c'est-à-dire le sucre glace, la farine, la poudre d'amande et le sel. Ajouter ensuite les blancs (non montés en neige) et incorporer jusqu'à ce que la pâte soit lisse. Procéder de la même façon avec le beurre, puis le chocolat.
Personnellement j'aime bien remplir les moules à financiers avec une poche à douille, c'est quand même plus rapide qu'avec une cuillère ;) alors en piste. Pour les plus McGyver d'entre-nous, un sachet de congélation coupé à l'angle fera l'affaire en ce qui concerne la poche à douille :)
Puis enfourner pour 8 minutes dans le four bien chaud. Attendre un peu pour les démouler pour ne pas qu'ils se cassent. ... et dévorer.
Consigne: "Ne pariez jamais que vous n'en mangerez qu'un." (et oui, d'où ca vieeeeent ?)